Il appartient aux assemblées d'en juger. Notre droit funéraire est lié à notre histoire, le principe de liberté des funérailles consacrant le caractère individuel – et non communautaire – de ce choix. L'incitation actuelle à créer des « carrés confessionnels » n'étant sans doute pas pleinement suffisante, il faudrait en rappeler la nécessité aux maires qui, aujourd'hui, ne jouent pas le jeu.