… j'ai eu le plaisir de recevoir une lettre officielle dans laquelle les pouvoirs locaux me remerciaient d'avoir honoré tous les engagements que j'avais contractés lors des négociations relatives à la fermeture.
L'État n'a pas le droit d'intervenir dans la stratégie d'ArcelorMittal, dont il ne possède pas d'actions. Il peut simplement nouer des relations de confiance avec les entreprises. Or il ne le fait pas. Depuis quelques mois, il leur tient un discours absurde, au moment même où elles auraient besoin, quelle que soit leur taille, de se sentir écoutées et épaulées. Si elles ne le sont pas, soit elles s'écrasent et restent dans leur coin, soit elles vont voir ailleurs.