En effet, les taux de rétrocession sont beaucoup plus élevés que ce que prévoyait la loi.
Quel avenir pour le financement du logement social ? Les tenants de l'intervention de l'État considéreront que celui-ci doit remplir son rôle en abondant la LBU, tandis que les autres, ne voulant pas lâcher la proie pour l'ombre, ne voudront pas renoncer à la défiscalisation. Pourtant, il suffirait de maintenir les deux dispositifs en prévoyant un plafond pour le cumul des deux et en alimentant correctement la LBU, et la défiscalisation tomberait d'elle-même !