Dans cette affaire, les bénéficiaires de la prestation avaient été avertis au moyen d'une affiche apposée dans le hall du foyer. Certes, on nous a reproché de n'avoir pas envoyé un courrier individuel aux allocataires, mais les envois en recommandé ont un coût. En règle générale, nous pouvons écrire des lettres simples : si la réponse de l'allocataire nous parvient dans les huit jours, le problème est réglé et le droit est maintenu. D'ailleurs, les contrôles au foyer d'Argenteuil n'ont pas été inutiles puisqu'ils ont révélé que certains allocataires étaient décédés et que d'autres avaient quitté le territoire français depuis plusieurs mois.
Cela dit, les contrôleurs sont des hommes et des femmes comme les autres et, comme nous, ils peuvent parfois s'énerver – ce qui est regrettable car nous souhaitons bien évidemment que les choses se passent bien.