On ne peut considérer que nous avons aujourd'hui suffisamment de relais. Mais nous partons d'une situation, au début des années 2000, où les lacunes étaient très importantes. Depuis, un partenariat s'est développé : ainsi, les gestionnaires tels Adoma ont étendu leurs offres, formé leurs personnels, et proposé des évolutions du bâti et des structures au sein des foyers. Cela est d'autant plus important que les personnes isolées dans le parc diffus peuvent bénéficier, au sein de ceux-ci, des informations qui y sont délivrées.
Cependant, se pose le problème de l'accompagnement apporté aux femmes migrantes, pour lequel nous n'en sommes qu'au tout début. Le fait de garantir leur accès à l'information est un véritable enjeu pour l'avenir.