Les travaux sur l'exil montrent que l'on ne veut pas toujours rentrer dans le pays que l'on a quitté.
La question du public féminin me semble effectivement constituer un point aveugle des politiques publiques, alors que ces femmes se trouvent souvent dans des situations très précaires, notamment d'un point de vue financier. Comment mettre en place des politiques pour atteindre ces personnes qui, souvent, parlent peu ou pas français ?