Si nous avons tant débattu à cette occasion, c'est que l'on raisonnait à partir des bases de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et sur le niveau de vie du pays d'origine des anciens combattants concernés. C'est pourquoi, tant les gouvernements de gauche que de droite craignaient que cette décristallisation n'entraîne l'apparition de nouveaux riches. De plus, comme vous l'avez rappelé, ce problème ne concerne plus que quelques milliers de personnes dans le monde. Leur reconnaissance était néanmoins nécessaire.
Quant à la question de la naturalisation, notre mission devrait permettre de faire mûrir la réflexion.