Face à la crise de liquidité du CIF, l'adossement aurait pu être une solution. Je regrette qu'il n'ait pas été possible, car cet établissement contribue à l'accession sociale à la propriété, et je pense aussi au personnel, d'autant que les engagements de la banque, très divisés, n'étaient pas plus risqués que d'autres. Je milite donc pour une solution qui préserve les intérêts des uns et des autres.