Pourquoi, alors, persévérer dans l'erreur, d'autant que la Cour des comptes pointe une richesse humaine mal valorisée ? Je cite encore : « Le ministère n'envisage pas de remédier à la faible part des indemnités dans la rémunération des enseignants. Il avance à cet égard l'argument du coût qui résulterait d'une telle réforme en raison de l'importance des effectifs concernés : les enseignants seraient victimes de leur nombre ».
Avec la RGPP, le gouvernement précédent avait commencé à revaloriser les débuts de carrière, en permettant aux enseignants de faire des heures supplémentaires défiscalisées.