Or l'immobilisme ne peut que conduire à la faillite de notre politique familiale.
Il nous a fallu faire preuve de beaucoup de courage : puisque nous souhaitions maintenir l'universalité des prestations et de notre politique familiale, il était nécessaire de réduire le déficit que vous nous avez laissé pour la branche famille. Vous nous avez laissé un déficit de plus de 2,6 milliards d'euros, qui représente une menace pour le devenir de la politique familiale.