Il n'en demeure pas moins que le mot « immersion » doit figurer dans la loi pour être admis dans nos réseaux scolaires.
Cet attachement se manifeste pour Diwan, pour les Calendrettes, pour le monde basque, pour le monde corse, etc. L'ensemble des régions concernées y sont attentives.
Dès lors que l'on énumère les méthodes, il faut les citer toutes, car on donne, sinon, le sentiment que certaines méthodes, dont l'immersion, ne sont pas admises.
Je souhaite par conséquent, monsieur le ministre, que vous manifestiez très clairement votre soutien à la méthode dite de l'immersion, à laquelle une partie de nos compatriotes sont attachés.