Chacun sait qu'il existe dans le secteur public un réseau relevant de votre ministère, monsieur le ministre, et un autre relevant du monde agricole et du monde maritime, qui à ce titre obéit à un autre code et à d'autres règles.
Il s'agit de décalquer ce que vous autorisez dans votre ministère pour l'appliquer à l'enseignement agricole et maritime.
Je ne vois pas très bien comment on peut refuser ce type d'amendement, dont la cohérence est absolue et qui concerne des effectifs limités. Que cette rédaction n'ait pas été adoptée initialement relève certainement de l'oubli. Je propose donc que l'enseignement agricole et l'enseignement maritime puissent bénéficier des mêmes avancées que celles évoquées pour l'enseignement public en matière de langues régionales.