Sous les deux précédentes législatures, le Parlement avait pris la résolution de procéder à des études d'impact afin de ne plus jouer à l'apprenti sorcier. Le risque, c'est toujours le consommateur qui finit par le payer. Préférons les études d'impact aux tableaux de suivi, qui ne font que prendre acte des dégâts causés.