Afin d'améliorer l'équilibre des comptes sociaux, monsieur le ministre, vous avez souhaité élargir le nombre de cotisants et l'assiette des prélèvements en supprimant la possibilité pour les travailleurs frontaliers de cotiser librement dans un système privé ou à la CMU. Nous sommes un certain nombre à considérer que cette décision est une énorme erreur. S'agit-il d'un choix définitif et, dans l'affirmative, pouvez-vous nous l'expliquer ?