Madame la ministre, on ne peut qu'applaudir au concept de diplomatie économique, bien utile face au pragmatisme et au sens séculaire du commerce des Chinois. Mais disposez-vous des moyens nécessaires pour coordonner l'action sur ce terrain et fédérer les personnes qui s'en chargent ?
Que pensez-vous de l'impact des très petites entreprises ? L'Alsace est, par exemple, bien implantée à Shanghai.