Il présente des comparaisons internationales, dresse le bilan des accords de gestion concertée des flux migratoires assortis de tableaux homériques sur les autorisations de travail, les métiers en tension. On peut lorsque l'on est mauricien être employé à domicile, mais pas intervenant à domicile. D'une profession à l'autre, d'un pays à l'autre, l'amplitude de métiers concernés par les accords s'échelonne entre dix pour le Cap Vert et soixante-dix-sept pour la Tunisie. Ce qui n'empêchait pas, sous l'ancienne législature, que l'on expulse un vitrier tunisien alors que ce métier figurait dans l'accord de gestion concerté avec la Tunisie. Le quota de vitriers tunisiens n'était évidemment jamais atteint, et tout cela était absurde, empreint de coups de menton, inefficace et d'une complexité infernale pour les employeurs et le tissu économique local.