Je propose la création, s'agissant du blanchiment, de la corruption et du trafic d'influence, d'un statut de « repenti », à l'instar de ce que prévoit déjà le code pénal dans d'autres domaines. Une personne qui empêcherait la commission de l'infraction pourrait ainsi être exemptée de peine, et celle qui dénoncerait une infraction commise, bénéficier d'une réduction de peine.
De telles dispositions seraient de nature à donner à la justice un avantage important, notamment pour ce qui concerne les affaires les plus complexes.