Avis défavorable : les textes sur l'appellation d'origine font d'ores et déjà référence aux « produits », sans distinction. Une explicitation est donc inutile.
D'autre part, les appellations d'origine semblent peu adaptées aux produits manufacturés, dans la mesure où les matières premières ne sont pas toujours locales ; cela explique que seul le monoï de Tahiti ait pu bénéficier de ce dispositif au cours des vingt dernières années. Pour ce type de produits, les indications géographiques constitueront un instrument de protection bien plus efficace.