Les consommateurs doivent pouvoir choisir un plat au restaurant en toute connaissance de cause. Il faut donc que les cartes précisent « si les plats proposés sont cuisinés sur place à partir de produits bruts et frais ».
J'insiste sur le fait qu'il s'agit de permettre au consommateur de disposer d'une information – qui peut ne pas être sans conséquence sur les prix –, et non d'émettre un jugement qualitatif. Un dispositif semblable est déjà en place en Italie ou en Grèce ; il paraît normal qu'au pays de la gastronomie, les clients bénéficient des mêmes informations.