Je comprends et partage la préoccupation de M. Barbier, mais il me semble que cela relève moins de la loi que du règlement. Imaginez que nos prédécesseurs aient mentionné le « 22 à Asnières » et songez combien, depuis, la numérotation a évolué ! Un temps d'attente de cinq minutes nous semble aujourd'hui constituer un délai raisonnable, mais qu'en sera-t-il demain ?