Les publicités relatives aux rachats de crédit sont souvent trompeuses en mettant en avant une baisse des mensualités sans indiquer qu'une telle diminution est due au rallongement de la maturité des prêts et qu'elle s'accompagne d'une hausse souvent importante du taux effectif global. Ainsi, on évoque l'exemple d'un couple marié disposant de 2 700 euros de revenus mensuels et payant une mensualité de 1 328 euros : un nouveau crédit promet de la diminuer de 585 euros, mais son coût, sa durée et les informations essentielles relatives à son taux ne sont pas précisés.