Puisque vous m'accusez de mauvaise foi, monsieur Censi, je me contenterai de citer le Premier président de la Cour des comptes, auquel vous n'aurez pas l'audace d'intenter le même procès : « Le respect des objectifs […] », écrit-il, « a […] moins tenu à la qualité de la programmation, perfectible, qu'à la mise en oeuvre de conditions de gestion restrictives ». Voilà précisément ce que nous avons fait et que j'ai cherché moi-même à vous décrire.