Cependant, ceux-ci recherchent l'équilibre financier de leurs opérations, le calculant à partir de leur apport en fonds propres (de 15 à 30 %) et des subventions qu'ils peuvent recevoir. Or, la CDC regrette qu'ils n'empruntent pas davantage – en tenant compte, bien évidemment, des avis de la MIILOS ou de la CGLLS sur les situations individuelles des organismes.