En effet, les organismes de logements sociaux (hors SEM) nous assurent qu'ils ne pourront pas construire plus de 80 000 logements par an en raison de la normalisation des prêts – en termes de quotité, de durée etc. – et de la limitation de leurs capacités d'emprunt. Ne conviendrait-il pas de les augmenter, même de manière temporaire ?