Le temps est compté et la date du 28 juillet est un impératif à respecter. Si l'on ne respecte pas l'accord cadre, il y aura un risque de détérioration de la situation. Par ailleurs, vous avez abordé, Monsieur le Président, la question des nouvelles institutions. La constitution actuelle, et les lois de décentralisation de 1994-1995, permet-elle des avancées et comment voyez-vous l'aboutissement du processus ?