Quant aux PME, elles feront l'objet d'un soutien déterminé. Elles doivent pouvoir pleinement profiter des commandes publiques et bénéficier des dispositifs fiscaux avantageux. Elles ne peuvent pas supporter les mêmes taux d'imposition que les multinationales, comme c'est le cas aujourd'hui. Leur croissance doit être encouragée, car c'est en se développant davantage qu'elles pourront se tourner vers l'exportation et conquérir de nouvelles parts de marché.
Nous offrirons à nouveau à nos agriculteurs un projet d'avenir, dans le cadre d'une politique agricole commune consolidée et rénovée.