Vous posez la question importante des intentions du Gouvernement. Rappelez-vous que, si l'acier est entre les mains d'Arcelor-Mittal, c'est parce que, pendant dix ans, la droite l'a laissé partir, alors que c'était auparavant un acier européen et français. (Brouhaha sur les bancs des groupes UMP et UDI.) À présent, il appartient à des centres de décision qui mènent tous les gouvernements européens par le bout du nez.
Qu'allons-nous donc faire ?