Je suis tout à fait d'accord avec ces conclusions. Je trouve même que leur rédaction reste très « pudique ». Le fait d'ouvrir la porte des négociations à la Serbie ne me pose aucun problème. Ceci est d'autant plus vrai que lorsque j'étais député européen, je ne m'étais pas montré favorable à la reconnaissance de l'indépendance du Kosovo. Certes les massacres qui ont eu lieu au cours des récentes années de guerre sont profondément regrettables, mais les responsabilités sont partagées. La France se doit de pratiquer aujourd'hui la politique de la main tendue.