« Oui, chef, mais il n'y a pas un euro pour ça ! » (Applaudissements sur les bancs des groupes UDI et UMP.) « C'est embêtant. On n'a qu'à dire qu'il y a une augmentation de capital de 10 milliards, et avec ça on fera 50 milliards de prêts. » « Mais, chef, il n'y a pas d'argent ! » « Ce n'est pas grave : les budgets des États prêteront ! » C'est pour cela que vous allez voter 1,6 milliard d'euros, car il n'y a pas un euro de plus dans le pacte de croissance européen ! (Applaudissements sur les bancs des groupes UDI et UMP. – Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)