La science-fiction nous permet parfois d'anticiper ce qui nous attend. Peut-être pourra-t-on parler un jour de cyberguerre ; mais nous n'en sommes pas là. À l'heure actuelle, une cyberattaque peut être un facteur de déstabilisation précurseur – que la défense nationale prend très au sérieux –, comme on le voit en Iran et comme on l'a vu en Géorgie, où l'attaque terrestre de 2008 a été précédée d'une tentative de cyberdéstabilisation.