Savez-vous, monsieur le ministre, ce que votre collègue nous a déclaré ce soir-là ? Il nous a dit – et je ne doute pas que cette réflexion très intéressante nourrira le débat et votre réflexion – que, dans notre pays, pendant des années, nous avons plus soutenu le consommateur que le producteur, et, si nous en sommes là aujourd'hui, c'est parce qu'il y a eu un déséquilibre entre la protection du consommateur et celle du producteur. Je soumets cela à votre sagacité.