Je suis le défenseur de tous ces collectifs spontanés qui se constituent et reflètent une réalité ! Il n'y a pas de raison qu'il y ait des monopoles – nous avons eu ce débat tout à l'heure.
Si nous voulons étendre aux usagers des services publics industriels et commerciaux la possibilité de s'organiser pour former des actions de groupe, le travail des seize associations agréées – travail à bien des égards remarquable et que je ne nie pas – doit être complété par celui d'associations d'usagers qui peuvent se constituer pour la circonstance. C'est, me semble-t-il, un élément de bon sens qui, je l'espère, convaincra l'ensemble des députés.