Tous les responsables européens se souviennent parfaitement de ce moment où, toutes affaires cessantes, ventre à terre, le précédent Président de la République est venu expliquer aux institutions européennes qu'il n'accepterait plus de tenir les engagements de la France en matière de déficit, demandant que l'on remette en question le taux de 3 % de déficit budgétaire.