Vous avez raison, monsieur le ministre : bien sûr qu'il faut retirer ces amendements ou les rejeter ! Je rappelle la situation : il s'agit d'une personne qui invite son cousin, son voisin, sa belle-mère et la tante à une réunion familiale, autour d'un apéritif ou d'un dessert, au cours de laquelle on vend quelques produits nouveaux, voire innovants, qu'on ne trouve pas dans les magasins ; souvent, ce sont de petites ventes amicales. Comment peut-on confondre les ventes classiques avec ces ventes en réunion type Tupperware ? À ce propos, on devrait se féliciter que cette entreprise se développe et que ce secteur, comme vous le dites, monsieur le ministre, soit pourvoyeur d'emplois.