Nous avons tous conscience que l'armée a consenti de très gros efforts depuis une quinzaine d'années, supérieurs à ceux consentis par d'autres administrations. Mais on ne peut pas pour autant dire que l'échec de Louvois est la conséquence de ces efforts. Je vois plutôt deux causes à cet échec.
La première est la faillite de la chaîne d'informations : il y a eu clairement une remontée de l'information défaillante.
La deuxième est l'incapacité des armées, mais pas seulement, à maîtriser un système d'information complexe – on l'a déjà vu avec le système Chorus.
Il y a donc nécessité de prendre rapidement des mesures correctives. Pouvez-vous dire, amiral, lesquelles ?