Intervention de Olivier Audibert Troin

Réunion du 25 juin 2013 à 18h00
Commission de la défense nationale et des forces armées

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaOlivier Audibert Troin :

Le calculateur PSIDI n'était ni archaïque ni dépassé, mais le passage à Louvois devait permettre d'économiser 750 postes, si bien que l'on a accéléré le changement ; on a même refusé, en mai 2011, de reporter la fermeture de CTAC – prévue en février 2012. Vous nous avez indiqué que le dispositif avait donné des signes de faiblesse dès sa mise en oeuvre. Au moment de la décision de laisser fonctionner plus longtemps les CTAC, des alertes – sur ce que vous avez nommé des « anomalies résiduelles » – avaient-elles été lancées ?

Vous avez affirmé qu'un ton méprisant avait été employé par un « certain cercle ». Lequel ? Au-delà des catastrophiques désagréments pour les hommes, cette affaire a-t-elle été exploitée pour attiser les rivalités entre nos armées à un moment crucial pour elles, celui de l'élaboration puis la mise en oeuvre du Livre blanc ?

Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cette intervention.

Inscription
ou
Connexion