Or, comme je connais vos convictions profondes, je sais que vous ne partagez ces conceptions.
J'en viens à l'argument que vous utilisez dans l'exposé sommaire. Vous êtes, mon cher collègue, rapporteur général. Si vous voulez connaître le coût de quotient familial, vous n'avez qu'à envoyer une lettre à M. le ministre, qui se fera un plaisir de procéder à la énième évaluation du coût du quotient familial !
Cet amendement est donc, premièrement, inutile. Il est, deuxièmement, dangereux parce qu'il assimile, dans la loi, le quotient à une dépense fiscale. Il faut donc absolument le repousser.