Je terminerai par une quatrième orientation : aller le plus loin possible dans la réforme de nos dépenses d'intervention, notamment sociales et économiques. Une politique, en particulier, concentre le mécontentement de tout le monde : la politique du logement, qui ne convient ni aux locataires, ni aux bailleurs, ni aux propriétaires, ni aux entrepreneurs du bâtiment, et qui coûte une fortune.
Dans tous ces domaines, il existe des possibilités de réforme profondes. Vous devez engager ces réformes, et c'est là-dessus que vous serez jugés !
Voilà les quelques réflexions que je voulais partager en cette fin de débat.