Mais M. de Courson aurait pu rappeler que notre politique fiscale, à l'inverse de celle de la précédente majorité, a visé des objectifs à la fois d'efficacité et de justice, avec un ciblage sur les ménages les plus favorisés et les grandes entreprises, le tout étant très contraint.
Je voudrais dès à présent dire à M. Lamour qu'assurément c'est nous qui sommes aux responsabilités : j'en éprouve le sentiment, et l'on se doit de l'éprouver, lorsque l'on a la chance et la lourde tâche d'être le ministre de l'économie et des finances de la France. Je sais qui sera jugé en 2017.