Monsieur l'ambassadeur, je salue le travail accompli par vos équipes et je les en remercie. Nous avons évoqué le professionnalisme des armées : celui des services du Quai d'Orsay mérite également d'être souligné.
Deux éléments bloquent les négociations : l'emploi du mot « Azawad » et l'organisation des troupes à Kidal. Pour assurer la tranquillité publique, il faudra sans doute mêler les forces maliennes et celles de la Minusma. Comment envisagez-vous cette organisation ?
Au Mali, en dépit du grand nombre de partis politiques, nous ne voyons pas se dégager de vraies personnalités. Qu'en pensez-vous ?
Cette crise a fait naître dans les pays voisins la volonté de s'organiser et de travailler ensemble. Peut-elle inciter l'Union européenne à s'investir dans la région ?