Bien sûr que si, puisqu'il n'y aurait plus l'euro ! Vous viendriez ici pour pleurer, parce que nous aurions une monnaie nationale dévaluée et que nous paierions l'énergie, le chauffage, le carburant, trois ou quatre fois plus cher !
Oui, monsieur Myard, vous fonctionnez avec les rétroviseurs du nationalisme…