Ces investissements feront la compétitivité de l'Europe de demain, et les emplois des jeunes Européens d'après-demain.
Voilà les chantiers qui s'ouvrent à nous. Il y aurait mille autres choses à dire mais trois heures de réponse pourraient vous lasser. (Sourires.) Je m'en tiendrai donc à ce que je viens de vous indiquer, en espérant que, dans les jours qui viennent, la réflexion aidant, nous parviendrons à relayer le Président de la République pour donner un nouveau souffle à l'Europe, ce qui suppose que la majorité soit rassemblée.
Nous ferons alors en sorte, ces cinq prochaines années, de faire vivre en Europe un autre projet de solidarité, notamment envers les peuples qui souffrent. Ceux-ci ont vu dans l'élection française un extraordinaire espoir pour l'Europe ; il nous appartient de ne pas le décevoir. (Vifs applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)