Tout en approuvant les orientations de ce rapport, je m'étonne que vous n'ayez pas pris en compte la dimension européenne de certains projets, dont le caractère prioritaire ne peut évidemment pas être évalué qu'à l'aune de critères franco-français. Je pense en particulier à l'achèvement de la branche Est de la LGV Rhin-Rhône, essentiel tant pour l'avenir du transport ferroviaire européen en général que pour Strasbourg. Pour quelles raisons ce projet, pour lequel la déclaration d'utilité publique a déjà été prononcée et dans lequel l'État a investi 80 millions d'euros, n'est-il plus considéré comme prioritaire ?