J'ai l'impression que l'on raisonne dans un monde qui a fini d'évoluer et nous avons eu raison de choisir des rapporteurs jeunes (Sourires). Si l'on regarde cinquante ans en arrière, on voit qu'il y a eu des évolutions. Et si l'on se projette dans l'avenir, on peut avoir l'espoir que de nouvelles solutions apparaissent. On ne se situe pas dans une situation figée, qui n'évolue plus. Il ne s'agit que d'une étape.
Ce qui m'intéresse, c'est que l'on ait une solution de stockage assurant la sécurité de la population, réversible, mais aussi que l'on ait une connaissance de qui a été fait dans le passé pour l'enfouissement et pour ce qui a été mis en mer, que ce soit par notre pays ou par d'autres pays, et une connaissance de ce que font actuellement les autres pays sur cette problématique.
Je trouve moi aussi très intéressante l'idée d'une compensation à assurer aux territoires qui acceptent de régler un problème pour l'ensemble de la Nation. D'ailleurs cette question se pose sur d'autres sujets.