Intervention de Philippe Armand Martin

Réunion du 2 juillet 2013 à 15h00
Commission des affaires économiques

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Armand Martin :

S'agissant du FISAC, les opérations de cofinancement sont menacées dans la mesure où les crédits alloués ne proviennent que de la dotation de l'État, qui est en constante diminution pour des candidatures de plus en plus nombreuses. Comment le Gouvernement compte-t-il intervenir ?

Vous avez par ailleurs ignoré l'oenotourisme, qui est un vecteur de développement et de pérennisation du vignoble français, présent dans soixante-six départements. Quelles mesures entendez-vous prendre pour conforter ce secteur d'activité et quels moyens envisagez-vous d'y consacrer ?

Quels sont les crédits alloués à Atout France, dont la mission est d'entretenir un dispositif approfondi et permanent de veille et d'analyse des marchés de l'offre et de la demande touristiques en France ?

Je pense qu'il est incohérent de limiter dans le temps le régime des auto-entrepreneurs et d'instaurer un seuil pour le chiffre d'affaires, même si vous diminuez le montant des cotisations lors du basculement. Votre réforme est une usine à gaz qui favorisera le travail au noir.

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