La décision du tribunal de grande instance de Paris n'est pas inverse à celle rendue par celui de Nanterre en février, monsieur Emmanuelli. Au contraire, elle reprend en partie ses motivations à savoir que les services du conseil général avaient tous les éléments pour appréhender la situation. La décision rendue en février l'a principalement été au motif que l'information délivrée par la banque avait été insuffisante.