Nous résisterons à la tentation de rejeter sur les experts militaires et industriels la responsabilité d'éventuelles dérives dans les programmes de coopération passés ou futurs, puisque l'on a bien compris que le poids de la décision politique était important – que ce soit pour les FREMM, pour l'ANL auxquels vous avez fait allusion, mais également pour le récent achat de drones sur étagère. Amiral, quelle devrait être l'articulation entre les politiques, les militaires et les ingénieurs de l'armement ?