Pierre Moscovici, ministre de l'économie et des finances :
Je citerai trois éléments. La crédibilité de la France, d'abord. Si nous n'étions pas crédibles, aurions-nous vu le spread, c'est-à-dire l'écart de taux d'intérêt avec l'Allemagne, se réduire ? Non ! Nous sommes crédibles, donc ça va mieux.