Les conséquences seront calamiteuses pour l'équilibre des pouvoirs, qui penche déjà bien fortement en faveur de l'exécutif dans la Constitution de 1958. Les maires de Château-Chinon, de Lille, La Rochelle, Nantes, Tulle, Bordeaux ou Marseille n'auraient donc pas pu siéger à l'Assemblée. L'absence de bon sens ne peut tenir lieu de politique.