Il s'agit de répondre mieux aux souhaits d'épanouissement individuel des étudiants, de valoriser leur parcours, de favoriser leur insertion professionnelle, de permettre aux universités de contribuer au développement des compétences tout au long de la vie. C'est l'un des points importants de ce texte.
Pour réussir, il est nécessaire d'avoir un accès correct à l'information et à l'orientation, de sorte que chacun puisse définir son parcours. Cela doit profiter tout particulièrement aux jeunes des quartiers défavorisés et à ceux qui viennent des zones rurales.
Mais la réussite doit être accompagnée. Qu'il s'agisse des conventions obligatoires entre les lycées hébergeant des classes préparatoires aux grandes écoles et les universités, des expérimentations ouvertes dans l'accès aux écoles de médecine, de l'accréditation des formations ou du développement d'outils technologiques issus du numérique, sur un grand nombre de points, ce texte se différencie de celui que nous n'avions pas voté en 2007 parce qu'il ne se préoccupait que de gouvernance.